Suite à la découverte de concentrations de mercure bien supérieures à la normale dans les sols aux alentours de Viège (2014), la question de la présence de ce composé dans l’atmosphère, du fait de sa volatilité et de sa nocivité, s’est posée. Un début de réponse a pu être apporté en utilisant les capacités bio-accumulatrices des lichens (Xanthoria parietina).